David Jovanović
Réalisateur, Scénariste, ProducteurSerbie

Détails
- >Naissance :1 janvier 1996 (Serbie)
- >Âge :29 ans
Né en 1996, David Jovanović est diplômé en réalisation cinématographique et télévisuelle à la FDA de Belgrade. Il est le fondateur de Pointless Films, une société de production cinématographique indépendante de Serbie. Sun Never Again est son premier film.
Filmographie
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2024 – Sun Never Again (Sunce nikad više)
Rôle : Réalisateur, Scénariste, ProducteurSynopsis : Dans l’est de la Serbie, Vid, un père confronté à la menace croissante d’une mine de fer exploitée par une multinationale près de chez lui, découvre la résilience et l’espoir grâce à l’imagination de son jeune fils, Dule, qui mêle l’optimisme, les contes de fées et le mysticisme à leur sinistre réalité.
Synopsis : Dans l’est de la Serbie, Vid, un père confronté à la menace croissante d’une mine de fer exploitée par une multinationale près de chez lui, découvre la résilience et l’espoir grâce à l’imagination de son jeune fils, Dule, qui mêle l’optimisme, les contes de fées et le mysticisme à leur sinistre réalité.
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2021 – Euphorie en direct (Buč Kesidi: Euforija uživo)
Rôle : Réalisateur, Scénariste, ProducteurSynopsis : Le groupe rock serbe Buč Kesidi improvise un concert dans un studio, interrompant une publicité programmatique. Le film enveloppe cette performance musicale dans une esthétique vintage inspirée des années 60–70. Entre séquences live et fiction, une intrigue légère s’ajoute : le concert se transforme en performance filmée stylisée, racontant un instant suspendu où musique et récit se répondent.
Synopsis : Le groupe rock serbe Buč Kesidi improvise un concert dans un studio, interrompant une publicité programmatique. Le film enveloppe cette performance musicale dans une esthétique vintage inspirée des années 60–70. Entre séquences live et fiction, une intrigue légère s’ajoute : le concert se transforme en performance filmée stylisée, racontant un instant suspendu où musique et récit se répondent.
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2019 – A Wonderful Day (Divan dan)
Rôle : Réalisateur, ProducteurSynopsis : Un passant traverse une journée λordinaire dans une ville : au lieu d’un récit linéaire, le film capte l’instant présent avec poésie et distance. Atmosphère absurde et moments d’observation pure rythment une proposition visuelle contemplative, qui joue sur la répétition, le décalage et le regard sur la joie quotidienne.
Synopsis : Un passant traverse une journée λordinaire dans une ville : au lieu d’un récit linéaire, le film capte l’instant présent avec poésie et distance. Atmosphère absurde et moments d’observation pure rythment une proposition visuelle contemplative, qui joue sur la répétition, le décalage et le regard sur la joie quotidienne.
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2018 – Ham Massage (Masiranje šunke)
Rôle : Réalisateur, Scénariste, ProducteurSynopsis : Dans ce film absurde et humoristique, l’action tourne autour du massage d’un jambon, anthropomorphisé ou traité comme un personnage. Le scénario déploie une comédie surréaliste, où le geste banal devient rituel, métaphore corporelle ou commentaire social. Une expérience visuelle minimaliste et décalée.
Synopsis : Dans ce film absurde et humoristique, l’action tourne autour du massage d’un jambon, anthropomorphisé ou traité comme un personnage. Le scénario déploie une comédie surréaliste, où le geste banal devient rituel, métaphore corporelle ou commentaire social. Une expérience visuelle minimaliste et décalée.
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2018 – Pig Tragedy in Three Acts (Praseća tragedija u tri čina)
Rôle : Réalisateur, Scénariste, ProducteurSynopsis : Conçu comme une fable divisée en trois actes, ce film allégorique tourne autour de la symbolique d’un cochon. À travers une esthétique visuelle marquée, il déploie un récit tragique, qui peut évoquer la condition humaine ou les notions de sacrifice. Chaque acte constitue un tableau stylisé, combinant imagerie visuelle forte et émotions mises en scène.
Synopsis : Conçu comme une fable divisée en trois actes, ce film allégorique tourne autour de la symbolique d’un cochon. À travers une esthétique visuelle marquée, il déploie un récit tragique, qui peut évoquer la condition humaine ou les notions de sacrifice. Chaque acte constitue un tableau stylisé, combinant imagerie visuelle forte et émotions mises en scène.
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2020 – (M for Murder or 'l’art pour l’art')
Rôle : Réalisateur, Scénariste, ProducteurSynopsis : Ce court satirique joue avec l’ambiguïté entre crime et création artistique. L’histoire met en scène un crime supposément motivé par une vision esthétique : l’art devient arme, et la mise en scène d’un meurtre devient performance. Le propos interroge les limites de « l’art pour l’art » en détournant les conventions du film noir. Des éléments absurdes et visuels font écho à une métaphore critique de la consommation culturelle.
Synopsis : Ce court satirique joue avec l’ambiguïté entre crime et création artistique. L’histoire met en scène un crime supposément motivé par une vision esthétique : l’art devient arme, et la mise en scène d’un meurtre devient performance. Le propos interroge les limites de « l’art pour l’art » en détournant les conventions du film noir. Des éléments absurdes et visuels font écho à une métaphore critique de la consommation culturelle.
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2019 – (Sandman)
Rôle : Réalisateur, Scénariste, ProducteurSynopsis : Dans une période de crise familiale, un conflit opposant plusieurs générations pousse le protagoniste à revisiter ses souvenirs, désirs et peurs. Cet affrontement intime devient métaphorique, invitant le spectateur à questionner la façon dont les rêves façonnent nos émotions profondes. Le film explore la fragilité psychologique et les tensions intérieures à travers un récit contemplatif centré sur l’inconscient et les sentiments réprimés.
Synopsis : Dans une période de crise familiale, un conflit opposant plusieurs générations pousse le protagoniste à revisiter ses souvenirs, désirs et peurs. Cet affrontement intime devient métaphorique, invitant le spectateur à questionner la façon dont les rêves façonnent nos émotions profondes. Le film explore la fragilité psychologique et les tensions intérieures à travers un récit contemplatif centré sur l’inconscient et les sentiments réprimés.
Récompenses
Presse
« Jovanović réalise un film qui unit la Vague noire yougoslave réaliste et le réalisme magique d’une manière extrêmement puissante. Les décors du village de Krivelj, dans l’est de la Serbie, où des mines existent réellement à côté des habitations, sont parfaitement filmés à l’épaule et avec un éclairage tamisé par Mladen Teofilović. Les acteurs peu connus et les figurants issus des rangs de la population locale se fondent dans le paysage, tandis que la musique abstraite de Nemanja Mosurović et la conception sonore d’Antonio Andrić complètent le film qui forme un tout qui laisse une impression aussi puissante qu’un poème symphonique contemporain. »
Marko Stojiljković - Cineeuropa
Pour des ajouts / changements d'informations, merci de contacter steven.decarvalho.78@gmail.com