
Antonio évoque son enfance dans un petit village de Cordoue et son esprit le ramène aux fêtes de Pâques : le labyrinthe de ruelles d'un blanc resplendissant où se déroule la procession, les activités frénétiques du village pour préparer l'événement, mais surtout la rencontre déterminante avec Paco, le peintre, qui apprendra à Antonio à regarder et à capturer la vie.