Mela Hilleard
Réalisatrice, ScénaristePologne

Détails
- >Carrière :2 ans
Mela Hilleard étudie à l’Académie de Théâtre de Wrocław en Pologne. Elle a travaillé comme assistante-réalisatrice, cadreuse et co-autrice de scénarios et d’adaptations. Elle a reçu le prix de la meilleure actrice pour Double portrait au 20e Festival international du premier film de Koszalin. Au cours d’un voyage de quatre ans à travers l’Asie, elle commence à prendre des photos. De retour à Varsovie, elle étudie à l’Académie européenne de photographie.
Elle obtient une maîtrise en réalisation cinématographique à la London Film School. Son film de fin d’études À l’aube, les fleurs ouvrent les portes du paradis a été présenté en première lors de la 72e édition du Festival international du film d’Édimbourg.
Filmographie (1)
- ‘HOME’ Rôle : Réalisateur, Scénariste
Synopsis : Ce long-métrage documentaire s’interroge sur l’identité et l’émigration, par le prisme des liens polonais-irlandais-sud-africains-anglais, et pose la question de la signification d’un “chez-soi”. Réalisé à partir de films et photographies, ‘HOME’ retrace la vie d’une poignée de personnes expulsées de leur propre culture et de leur propre maison. Ensemble, ils fondent un foyer et trouvent l’amour dans la maison d’une femme de 90 ans de la banlieue de Londres, alitée.
Synopsis : Ce long-métrage documentaire s’interroge sur l’identité et l’émigration, par le prisme des liens polonais-irlandais-sud-africains-anglais, et pose la question de la signification d’un “chez-soi”. Réalisé à partir de films et photographies, ‘HOME’ retrace la vie d’une poignée de personnes expulsées de leur propre culture et de leur propre maison. Ensemble, ils fondent un foyer et trouvent l’amour dans la maison d’une femme de 90 ans de la banlieue de Londres, alitée.
Citations (1)
« L’ensemble n’est pas sans rappeler les films narratifs de Jonas Mekas, dont As I Was Moving Ahead Occasionally I Saw Brief Glimpses of Beauty. L’ambiance peut rappeler aux spectateurs des films comme Leçon de Sibérie de Wojtek Staroń dans lequel la caméra devient « un outil pour faire des découvertes ». Il n’y a pas de règles de continuité pour le son, tout comme la structure visuelle du montage du film qui n’est pas linéaire. Cette méthode utilise le même langage cinématographique que Le Miroir d’Andrei Tarkovski, qui « se déploie comme un flux organique de souvenirs ». Il intègre les sons de la caméra, « à la recherche de concentration et de clarté », comme l’épine dorsale du film. »
Mela Hilleard
Pour des ajouts / changements d'informations, merci de contacter steven.decarvalho.78@gmail.com