Claire Angelini
Réalisatrice, Scénariste, Productrice, Ingénieure son, MonteuseFrance

Détails
- >Carrière :23 ans
Claire Angelini, artiste et cinéaste, interroge les rapports entre l’art et l’histoire sous les espèces d’une archéologie critique des lieux et des mémoires via le cinéma, l’installation, la performance, la photographie et le dessin. Elle a réalisé sept longs-métrages dont Au temps des autres (Underdox 17), Chronique du tiers-exclu (Sélection SCAM 2017), Ce gigantesque retournement de la terre (Berlinale, Forum 2015) ou encore La guerre est proche (Cinéma du Réel 2011 et Prix au Rendez-vous de l’histoire de Blois) et dix-huit courts-métrages présentés dans des festivals français et internationaux, des centres d’art, des galeries, des cinémathèques, et des maisons de la culture.
Filmographie (24)
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2023 – Jeanne fait des siennes (Jane is acting up) Rôle : Réalisatrice, Scénariste
Synopsis : Qui était Jeanne Barret, cette femme qui, déguisée en homme, embarqua pour un tour du monde en 1767 avec l’expédition Bougainville? Le film narre ses possibles aventures et confronte ce destin hors du commun avec celui de trois femmes, nos contemporaines, qui ont fait le voyage en sens inverse.
Synopsis : Qui était Jeanne Barret, cette femme qui, déguisée en homme, embarqua pour un tour du monde en 1767 avec l’expédition Bougainville? Le film narre ses possibles aventures et confronte ce destin hors du commun avec celui de trois femmes, nos contemporaines, qui ont fait le voyage en sens inverse.
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2020 – Au temps des autres (On the time of others) Rôle : Réalisatrice, Scénariste
Synopsis : Tandis que des vivants – les archéologues du centre d’archéologie européenne de Bibracte – retrouvent dans la montagne des bribes indéchiffrables de notre humanité antérieure, des absents dans la plaine – qui furent ouvriers dans l'industrie minière et dans la fonderie – ont laissé derrière eux des restes industriels que nous ne savons même plus lire et déchiffrer, envahis de végétation et devenus illisibles.
Synopsis : Tandis que des vivants – les archéologues du centre d’archéologie européenne de Bibracte – retrouvent dans la montagne des bribes indéchiffrables de notre humanité antérieure, des absents dans la plaine – qui furent ouvriers dans l'industrie minière et dans la fonderie – ont laissé derrière eux des restes industriels que nous ne savons même plus lire et déchiffrer, envahis de végétation et devenus illisibles.
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2017 – Chronique du tiers-exclu Rôle : Réalisatrice, Scénariste
Synopsis : Des usagers de l’hôpital psychiatrique d’Armentières dans le nord de la France fondé il a 400 ans retracent l’épopée collective d’un établissement que les dernières générations de soignants, acteurs militants de changements radicaux ont patiemment déconstruit. Une évolution décisive qui dresse le bilan d’une période de la psychiatrie française et de ses combats. La prise en charge de cette histoire par les usagers actuels de l’hôpital devient dans et par le film un geste de liberté leur permettant d’assumer pleinement leur retour dans la cité.
Synopsis : Des usagers de l’hôpital psychiatrique d’Armentières dans le nord de la France fondé il a 400 ans retracent l’épopée collective d’un établissement que les dernières générations de soignants, acteurs militants de changements radicaux ont patiemment déconstruit. Une évolution décisive qui dresse le bilan d’une période de la psychiatrie française et de ses combats. La prise en charge de cette histoire par les usagers actuels de l’hôpital devient dans et par le film un geste de liberté leur permettant d’assumer pleinement leur retour dans la cité.
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2015 – Ce gigantesque retournement de la terre (This gigantic furrowing of the ground) Rôle : Réalisatrice, Scénariste
Synopsis : A quelles rencontres humaines, à quel récit des lieux conduit l’exploration d’une région qui fut martyrisée il y a 70 ans –la Manche et le Calvados au moment du débarquement allié de juin 1944? Que peut le cinéma en matière de mémoire, et que nous raconte ce dialogue établi entre deux films documentaires réalisés à 70 ans de distance?
Synopsis : A quelles rencontres humaines, à quel récit des lieux conduit l’exploration d’une région qui fut martyrisée il y a 70 ans –la Manche et le Calvados au moment du débarquement allié de juin 1944? Que peut le cinéma en matière de mémoire, et que nous raconte ce dialogue établi entre deux films documentaires réalisés à 70 ans de distance?
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2012 – Et tu es dehors (Und raus bist du and out you go) Rôle : Réalisatrice, Scénariste
Synopsis : Dans Et tu es dehors, film-essai, une narration se construit où la construction de la norme et de ce qui échappe à celle-ci, thématisée par Foucault sous le concept de bio-pouvoir, cherche à s’incarner dans un montage réunissant documents et fiction. Conjugaison de réminiscences et de coïncidences, examen des sédimentations de la mémoire, éclats de temps et d’espace, tout concourt à travailler l’histoire ou plus exactement, à transformer le « sens intime du temps » en représentation, par les moyens du cinéma.
Synopsis : Dans Et tu es dehors, film-essai, une narration se construit où la construction de la norme et de ce qui échappe à celle-ci, thématisée par Foucault sous le concept de bio-pouvoir, cherche à s’incarner dans un montage réunissant documents et fiction. Conjugaison de réminiscences et de coïncidences, examen des sédimentations de la mémoire, éclats de temps et d’espace, tout concourt à travailler l’histoire ou plus exactement, à transformer le « sens intime du temps » en représentation, par les moyens du cinéma.
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2011 – La guerre est proche (War is looming) Rôle : Réalisatrice, Scénariste
Synopsis : Ce film est conçu sur le principe de l’oratorio pour réinscrire dans un espace aujourd’hui défait, la présence politique de notre histoire. A l’encontre de l’édification d’un mémorial, il dresse une scène provisoire où la pensée mise en mouvement engage un travail de définition vivante des mémoires d’un lieu: nous sommes au présent d’un camp français, de ses restes déserts et détruits. Au dispositif narratif du film, à sa structure et à son point de vue, d’éclairer l’opacité de cet espace.
Synopsis : Ce film est conçu sur le principe de l’oratorio pour réinscrire dans un espace aujourd’hui défait, la présence politique de notre histoire. A l’encontre de l’édification d’un mémorial, il dresse une scène provisoire où la pensée mise en mouvement engage un travail de définition vivante des mémoires d’un lieu: nous sommes au présent d’un camp français, de ses restes déserts et détruits. Au dispositif narratif du film, à sa structure et à son point de vue, d’éclairer l’opacité de cet espace.
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2009 – Le retour au pays de l'enfance (Back to the land of childhood) Rôle : Réalisatrice, Scénariste
Synopsis : Trois femmes blessées par l’exil ; retour sur les lieux de leur enfance, en France, Pologne et Algérie. Entre mémoire et présent et au fil du voyage, s’expose fragmentairement l'histoire des espaces traversés, s’exprime le lien tissé par chacune entre mémoire subjective et conscience de l’adulte.
Synopsis : Trois femmes blessées par l’exil ; retour sur les lieux de leur enfance, en France, Pologne et Algérie. Entre mémoire et présent et au fil du voyage, s’expose fragmentairement l'histoire des espaces traversés, s’exprime le lien tissé par chacune entre mémoire subjective et conscience de l’adulte.
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2023 – Naviguer et tenir Rôle : Réalisatrice
Synopsis : Si l’expérience maritime accompagne l’histoire de l’humanité, la navigation féminine, elle, a été conquise de haute lutte. Tandis que de lourds tankers arrivent en Occident chargés de marchandises, à Lorient une jeune femme s’entraîne pour le Vendée Globe, une course en solitaire aussi dangereuse qu’excitante. A l’encontre des récits d’exploits et de compétition, le film livre le portrait au féminin d’une sportive de haut niveau tandis que l’image, entre l’eau et la terre, fait la part belle au bateau dans son inquiétante étrangeté.
Synopsis : Si l’expérience maritime accompagne l’histoire de l’humanité, la navigation féminine, elle, a été conquise de haute lutte. Tandis que de lourds tankers arrivent en Occident chargés de marchandises, à Lorient une jeune femme s’entraîne pour le Vendée Globe, une course en solitaire aussi dangereuse qu’excitante. A l’encontre des récits d’exploits et de compétition, le film livre le portrait au féminin d’une sportive de haut niveau tandis que l’image, entre l’eau et la terre, fait la part belle au bateau dans son inquiétante étrangeté.
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2021 – L’histoire reste jeune Rôle : Réalisatrice, Scénariste
Synopsis : En 2021, six jeunes réunis par leur passion du théâtre autour de Brecht cherchent leur voie. Marqués par la guerre et l’angoisse qu’elle suscite, ils gardent malgré tout l’élan de tourner leur regard vers l’avenir.
Synopsis : En 2021, six jeunes réunis par leur passion du théâtre autour de Brecht cherchent leur voie. Marqués par la guerre et l’angoisse qu’elle suscite, ils gardent malgré tout l’élan de tourner leur regard vers l’avenir.
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2020 – Fêtes / Faites votre possible Rôle : Réalisatrice, Monteuse
Synopsis : Des lignes parallèles entrelacées explorent ici quelques fragments liés à la notion de fête, au prisme de l’histoire (une séquence festive révolutionnaire attachée à la Fête de la régénération de l’An II), de la peinture (les tableaux de masques du peintre belge James Ensor) et du cinéma (un moment presque documentaire de carnaval par Ivan Mosjoukine en 1920).
Synopsis : Des lignes parallèles entrelacées explorent ici quelques fragments liés à la notion de fête, au prisme de l’histoire (une séquence festive révolutionnaire attachée à la Fête de la régénération de l’An II), de la peinture (les tableaux de masques du peintre belge James Ensor) et du cinéma (un moment presque documentaire de carnaval par Ivan Mosjoukine en 1920).
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2019 – "Un funambule foudroyé" faire barrage de son corps Rôle : Réalisatrice
Synopsis : Sous ce titre emprunté à l’historien du cinéma François Albera, se déploie l’installation graphique et cinématographique, Faire barrage/De son corps et Rire, jouer, mourir, dédiée à Aimos, figure oubliée du cinéma français de l’entre deux-guerres.
Synopsis : Sous ce titre emprunté à l’historien du cinéma François Albera, se déploie l’installation graphique et cinématographique, Faire barrage/De son corps et Rire, jouer, mourir, dédiée à Aimos, figure oubliée du cinéma français de l’entre deux-guerres.
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2017 – L'enfance de l'art, une invention Rôle : Réalisatrice, Monteuse
Synopsis : Si les frère Lumière, industriels bourgeois, ont filmé leur monde, quelle place ont-ils octroyée aux travailleurs sur leurs premières images en mouvement? Autrement dit, le cinéma est-il une machine qui participe de l’exploitation ou porte-t-il en germe la promesse émancipatrice d’un bonheur reconfigurant –en en fixant les traces– notre rapport au travail, c’est-à-dire accordant une place pleine et entière aux loisirs et à l’art ?
Synopsis : Si les frère Lumière, industriels bourgeois, ont filmé leur monde, quelle place ont-ils octroyée aux travailleurs sur leurs premières images en mouvement? Autrement dit, le cinéma est-il une machine qui participe de l’exploitation ou porte-t-il en germe la promesse émancipatrice d’un bonheur reconfigurant –en en fixant les traces– notre rapport au travail, c’est-à-dire accordant une place pleine et entière aux loisirs et à l’art ?
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2017 – Toi qui ! Rôle : Réalisatrice, Monteuse
Synopsis : Film-hommage et ciné-poème, TOI QUI ! revisite un certain nombre de films du cinéaste Dziga Vertov à l’aune de la question féminine. Regarder à nouveau ces films, les ralentir, les explorer, en recadrer des fragments, c’est, de La sixième partie du monde à la Symphonie du Dombass, de L’homme à la caméra à Berceuse, découvrir l’attention particulière que le cinéaste et ses opérateurs ont accordé aux femmes, à leur travail, leur labeur, leur effort, mais aussi leurs corps, gestes, regards, sourires.
Synopsis : Film-hommage et ciné-poème, TOI QUI ! revisite un certain nombre de films du cinéaste Dziga Vertov à l’aune de la question féminine. Regarder à nouveau ces films, les ralentir, les explorer, en recadrer des fragments, c’est, de La sixième partie du monde à la Symphonie du Dombass, de L’homme à la caméra à Berceuse, découvrir l’attention particulière que le cinéaste et ses opérateurs ont accordé aux femmes, à leur travail, leur labeur, leur effort, mais aussi leurs corps, gestes, regards, sourires.
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2016 – Avant-hier le futur ! (Before yesterday the future !) Rôle : Réalisatrice, Monteuse
Synopsis : Ce film se présente comme une constellation d'affrontements: entre de deux hommes portés par des visions du monde radicalement opposées, entre un non-acteur et un texte littéraire, entre un corps et la mémoire d'un lieu, entre une musique chargée d'une forte histoire politique et un paysage urbain. Du choc des mots, des gestes, des idées surgit la possibilité esthétique et politique d'un soulèvement comme ressaisissement ultime et adresse au futur.
Synopsis : Ce film se présente comme une constellation d'affrontements: entre de deux hommes portés par des visions du monde radicalement opposées, entre un non-acteur et un texte littéraire, entre un corps et la mémoire d'un lieu, entre une musique chargée d'une forte histoire politique et un paysage urbain. Du choc des mots, des gestes, des idées surgit la possibilité esthétique et politique d'un soulèvement comme ressaisissement ultime et adresse au futur.
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2016 – Fragment de lumière (Figment of light) Rôle : Réalisatrice, Monteuse
Synopsis : Une relecture de Lumière d'été, film tourné par le cinéaste Jean Grémillon en 1942 lors de l'occupation nazie de la France. 70 ans plus tard, ce re-montage fait apparaître le discours de résistance à l'oppression qui cheminait souterrainement dans le film du cinéaste. Un geste d'archéologue qui peut trouver des résonances dans l'actualité.
Synopsis : Une relecture de Lumière d'été, film tourné par le cinéaste Jean Grémillon en 1942 lors de l'occupation nazie de la France. 70 ans plus tard, ce re-montage fait apparaître le discours de résistance à l'oppression qui cheminait souterrainement dans le film du cinéaste. Un geste d'archéologue qui peut trouver des résonances dans l'actualité.
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2016 – Marche / Aragon Rôle : Réalisatrice, Monteuse
Synopsis : Marche / Aragon ou comment la Deuxième Guerre mondiale s’est infiltrée dans les photographies d’une petite communauté italienne, comment elle a scellé le destin d’un jeune paysan espagnol, comment elle hante une école musicale des années 50 et la poésie espagnole engagée dans la guerre d’Espagne.
Synopsis : Marche / Aragon ou comment la Deuxième Guerre mondiale s’est infiltrée dans les photographies d’une petite communauté italienne, comment elle a scellé le destin d’un jeune paysan espagnol, comment elle hante une école musicale des années 50 et la poésie espagnole engagée dans la guerre d’Espagne.
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2012 – Brise la mer ! Jeune, Révolution Rôle : Réalisatrice, Monteuse
Synopsis : Développer un cinéma politique Deux protagonistes - une femme algérienne et un homme tunisien - évoquent la situation récente de leurs pays. Le politique surgit là où le visible redistribué permet de poser autrement la série de problèmes engendrés par ce qui a eu lieu, dans l’Histoire ; quand aux cuves de pétrole du port de Béjaia, (Algérie), répondent les toupies d’abord fougueuses, puis de plus en plus lentes, d’une table de café tunisienne, de quel tour sur soi-même la révolution, dans l’un et l’autre de ces deux pays, a-t-elle été porteuse ?
Synopsis : Développer un cinéma politique Deux protagonistes - une femme algérienne et un homme tunisien - évoquent la situation récente de leurs pays. Le politique surgit là où le visible redistribué permet de poser autrement la série de problèmes engendrés par ce qui a eu lieu, dans l’Histoire ; quand aux cuves de pétrole du port de Béjaia, (Algérie), répondent les toupies d’abord fougueuses, puis de plus en plus lentes, d’une table de café tunisienne, de quel tour sur soi-même la révolution, dans l’un et l’autre de ces deux pays, a-t-elle été porteuse ?
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2009 – Par l'eau et par le feu (On Water And Fire) Rôle : Productrice, Monteuse
Synopsis : Le 25 août 2005, un immeuble vétuste brûle, au centre de Paris. L‘incendie fait 47 victimes, causant la mort de 17 personnes d’origine africaine, dont 12 enfants. Un chantier recouvre en 2009 la mémoire du lieu devenu méconnaissable.
Synopsis : Le 25 août 2005, un immeuble vétuste brûle, au centre de Paris. L‘incendie fait 47 victimes, causant la mort de 17 personnes d’origine africaine, dont 12 enfants. Un chantier recouvre en 2009 la mémoire du lieu devenu méconnaissable.
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2007 – Loci Soli / Soliloques Rôle : Productrice, Monteuse
Synopsis : Soit une frontière sous les espèces d’un fleuve. Elle est à la fois ligne tangible de partage et fluidité évanescente. Quels mouvements affectent-ils ce territoire, et comment s’éprouve conjointement la limite d’une langue, dans son appartenance au lieu donné ici puis là-bas, et le dépassement des contraintes qu’elle impose?
Synopsis : Soit une frontière sous les espèces d’un fleuve. Elle est à la fois ligne tangible de partage et fluidité évanescente. Quels mouvements affectent-ils ce territoire, et comment s’éprouve conjointement la limite d’une langue, dans son appartenance au lieu donné ici puis là-bas, et le dépassement des contraintes qu’elle impose?
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2007 – She/See Rôle : Productrice, Monteuse
Synopsis : Le point de départ du film est l’improbable rencontre d’une “boat-people” vietnamienne, avec l’Allemagne ; de la mer, par laquelle elle a fui son pays, de l’histoire présente, déchirement d’êtres, avec un lac mythique de la Bavière. La question est : comment filmer ce corps déplacé et, en lui, retenir les souvenirs qui se délitent ?
Synopsis : Le point de départ du film est l’improbable rencontre d’une “boat-people” vietnamienne, avec l’Allemagne ; de la mer, par laquelle elle a fui son pays, de l’histoire présente, déchirement d’êtres, avec un lac mythique de la Bavière. La question est : comment filmer ce corps déplacé et, en lui, retenir les souvenirs qui se délitent ?
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2005 – Es geht eine dunkle wolk'herein Rôle : Productrice, Monteuse
Synopsis : Quelle archéologie pour le XXème siècle? Ici trois lieux, pour une même histoire: où se situe la frontière entre ce que raconte l’archive et les données concrètes, physiques, de nos territoires contemporains? La première question de cinéma est: déplacer le focus du côté des traces, de l’enfoui. La deuxième; où poser la caméra, comment traduire la démesure de la violence.
Synopsis : Quelle archéologie pour le XXème siècle? Ici trois lieux, pour une même histoire: où se situe la frontière entre ce que raconte l’archive et les données concrètes, physiques, de nos territoires contemporains? La première question de cinéma est: déplacer le focus du côté des traces, de l’enfoui. La deuxième; où poser la caméra, comment traduire la démesure de la violence.
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2004 – Hier liegt die grenze des pädagogischen bemühens / here the pedagogical effort has reached its limit Rôle : Monteuse
Synopsis : Inventer un nouvelle topographie narrative à partir de l’installation homonyme Ici s’atteint la limite de l’effort pédagogique, réalisée par Laboratoire-Histoire dans l’architecture éphémère d’Atelier van Lieshout.
Synopsis : Inventer un nouvelle topographie narrative à partir de l’installation homonyme Ici s’atteint la limite de l’effort pédagogique, réalisée par Laboratoire-Histoire dans l’architecture éphémère d’Atelier van Lieshout.
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2004 – Un trou dans le gant (Ein Loch im Handschuh) Rôle : Productrice, Monteuse
Synopsis : Un bunker civil de la Seconde Guerre mondiale, est-il un lieu quelconque ? Un état des lieux le transforme en une promenade dans le temps. Confrontant le spectateur à la crudité de l’histoire, elle le prend à témoin d’une humanité en voie de disparition.
Synopsis : Un bunker civil de la Seconde Guerre mondiale, est-il un lieu quelconque ? Un état des lieux le transforme en une promenade dans le temps. Confrontant le spectateur à la crudité de l’histoire, elle le prend à témoin d’une humanité en voie de disparition.
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2002 – Réciprocités (Reciprocities) Rôle : Monteuse
Synopsis : Si la ville suscite des passions plus complexes que la maison, dans la mesure où elle offre un espace de déplacement, de rapprochement et d’éloignement, et si on peut s’y sentir égaré, errant, perdu, tandis que ses espaces publics, ses places bien nommées invitent aux commémorations et aux rassemblements ritualisés, comment faire surgir le rapport sensible et subjectif entre des habitants et leur espace urbain ?
Synopsis : Si la ville suscite des passions plus complexes que la maison, dans la mesure où elle offre un espace de déplacement, de rapprochement et d’éloignement, et si on peut s’y sentir égaré, errant, perdu, tandis que ses espaces publics, ses places bien nommées invitent aux commémorations et aux rassemblements ritualisés, comment faire surgir le rapport sensible et subjectif entre des habitants et leur espace urbain ?
Pour des ajouts / changements d'informations, merci de contacter steven.decarvalho.78@gmail.com