Walls Can Talk

Walls Can Talk / Las paredes hablan

(Documentaire, Espagne, 2022, 75’, C, VOSTF)

de Carlos Saura

Walls Can Talk (2022) est un documentaire de Carlos Saura, sélectionné à la section « THEMA : Portraits, Paysages, Monde » de la 18ème édition du Festival des films européens de Paris, L’Europe autour de l’Europe.

 

Une premiere française aura lieu lors de la Cérémonie d’Ouverture au Cinéma Les 7 Parnassiens à Paris le mardi 14 mars 2023 à 19h30.

Walls Can Talk

Synopsis

Carlos Saura explore l’origine de l’art dans la perspective de l’évolution de l’homme, depuis les premières peintures rupestres des grottes préhistoriques jusqu’aux expressions urbaines les plus avant-gardistes.

Presse

« Un voyage immersif vers les premières créations, mais surtout vers le premier regard »

Carlos Loureda – Fotograma

« Le point de vue unique du réalisateur sur l’origine de l’art »

Butaca y Butacón

« Un documentaire délicieux »

David Martos – Onda Cero

« Fascinant par son sujet »

Écran international

Citations

« On soupçonne ou on admet furtivement que le réalisateur espagnol, aujourd’hui âgé de 90 ans, après avoir été photographe et réalisateur pendant près de 70 ans, veut comprendre non seulement l’origine de l’art mais aussi l’impulsion à reproduire le monde qui explique sa propre vie. »

Latidofilms.com

Photos

Carlos Saura. Carlos Saura. Carlos Saura. Carlos Saura.

Crédits

Carlos Saura

Réalisateur

Carlos Saura, José Morillas

Scénariste

Juana Jiménez, Rita Noriega

Directeur de la photographie

Inés Almirón, Raquel Forcén

Son

Vanessa Marimbert

Montage

Alfonso Aguilar

Musique originale

Roberto Fernández

Mixage

Malvalanda

Production

María del Puy Alvarado, Anna Saura

Producteur

Auteur du film :

Carlos Saura
Carlos Saura

Carlos Saura naît en 1932 à Huesca en Espagne dans une famille d’artistes. Après la guerre civile, il s’installe à Madrid et s’inscrit à l’Instituto de Investigations y Estudios Cinematográficos. Diplômé en 1957, il réalise son premier moyen-métrage documentaire Cuenca qui amorce un néoréalisme à l’espagnol. Les Voyous (1960) est son premier long-métrage de fiction. La Chasse (1966, Ours d’argent à Berlin) évoque les conséquences cachées et le poids psychologique de la guerre, l’un des thèmes principaux de son œuvre. Suivent Peppermint frappé (1967, l’Ours d’Argent à Berlin), La Madriguera (1969), Le Jardin des délices (1970). La Cousine Angélique (1974) est sélectionné en compétition au Festival de Cannes et Cría Cuervos (1975) reçoit le Grand Prix de Jury l’année suivante. Jusqu’à la mort de Franco en 1976, Saura doit jouer avec la censure, en orientant son cinéma vers un langage symbolique. Vivre vite (1981) est couronné de l’Ours d’or à Berlin. À partir des années 80, plusieurs de ses films explorent la question de la représentation de la danse, de la musique et du spectacle : Noces de sang (1981), Carmen (1983), Flamenco (1995), Goya à Bordeaux (1999, Prix du Jury œucuménique du Festival de Montréal), Tango (1998), Fados (2007), Flamenco (2010), Argentina (2015), Jota de Saura (2016) ou encore la fiction El rey de todo el mundo (2021). Il réalise ensuite un long-métrage sur l’architecte Renzo Piano, Renzo Piano, an Architect for Santander, et un court-métrage sur Goya, Goya 3 de mayo. En 2021, il revient sur la guerre civile avec le court-métrage d’animation Rosa Rosae. La Guerra Civil. Son dernier film Las paredes hablan (2022), est une réflexion sur l’art depuis ses origines jusqu’à nos jours.

Autres films : THEMA: Portraits, Paysages, Monde

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