Erik Jasaň est un réalisateur slovaque qui a suivi des études supérieures en cinéma à l’Académie des arts du spectacle de Bratislava. Son premier court métrage, "The Professional Parent", a été sélectionné pour le Short Film Corner, qui se déroulera pendant le 78e Festival de Cannes. Le film a reçu une mention honorable au Festival itinérant du film Thomas Edison et a été officiellement sélectionné au Festival international du cinéma de Lebu, au Chili.
Elisabeth Werchosin est née en 1995 à Pskov, en Russie, dans une famille d’immigrés allemands. Elle a obtenu un diplôme de réalisatrice à l’université du cinéma et de la télévision de Saint-Pétersbourg. En 2022, son court-métrage We Mourn a remporté le prix du public au 48e festival international Grenzland-Filmtage.
Dzhovani Gospodinov est un cinéaste bulgaro-luxembourgeois dont le travail interroge les frontières entre le documentaire et la fiction. Intéressé par le pouvoir du cinéma d’observation, son cinéma illustre la poétique des anciens rituels païens et l’érosion des intimités entre l’homme et le monde naturel.
Né en 1996, David Jovanović est diplômé en réalisation cinématographique et télévisuelle à la FDA de Belgrade. Il est le fondateur de Pointless Films, une société de production cinématographique indépendante de Serbie. "Sun Never Again" est son premier film.
Dáša Raimanová est une réalisatrice et productrice slovaque de documentaires, dont le travail explore des sujets sociopolitiques, principalement axés sur les problématiques des femmes et des minorités. Elle est diplômée de l’université de Middlesex en cinéma, vidéo et arts interactifs, ainsi qu’en anthropologie biologique et en sciences cognitives de l’université de Vienne. Son court métrage Across the Road - Worlds Apart et son film Polyland ont été projetés dans de nombreux festivals et évènements organisés par Amnesty International contre les crimes de haine en Pologne.
Née dans le Xinjiang, région des Ouïghours, Darya Andijan étudie à la Netherlands Film Academy. Le tapis est ici l’équivalent d’un processus de réflexion, où s’entremêlent le symbolisme, le mythe et l’histoire familiale, afin d’explorer le thème de l’oppression et activer le pouvoir de guérison du « féminin divin ».
Réalisateur et scénariste bosnien né en 1969, Danis Tanović s’impose dès son premier long métrage No Man’s Land (2001), récompensé par l’Oscar du meilleur film étranger, le César du meilleur premier film et le Prix du scénario à Cannes. Son œuvre, souvent engagée, explore les cicatrices de la guerre, la mémoire collective et les contradictions sociales.
Née à Genève, Carmen Jaquier étudie le graphisme avant de réaliser ses premiers courts-métrages, puis d’intégrer l’École cantonale d’art de Lausanne (ECAL). Son film de fin d’études Le Tombeau des filles reçoit le Pardino d’argento au Festival du film de Locarno en 2011. Elle explore ensuite l’image et le montage au sein du collectif Aamen et réalise deux courts-métrages, Les Vagues et Le Bal des Sirènes. Ses films La Rivière sous la langue et Heimatland (un long-métrage collectif) sont sélectionnés au Festival du film de Locarno en 2015. Elle signe également l’image du film A Bright Light - Karen and the Process d’Emmanuelle Antille, présenté au Festival Visions du Réel en 2018. Foudre est son premier long-métrage.
Aucunes informations supplémentaires sur Béla Ternovszky.
Après une formation de chef-opératrice à la Fémis, Béatrice Kordon s’oriente rapidement vers la réalisation de films qui explorent et interrogent l’écriture cinématographique elle-même. Ses films se situent ainsi à la croisée des pratiques documentaires, du cinéma expérimental, de la création sonore et des arts plastiques, travaillant leur narration comme un tissage de trames multiples et de sources variées — vidéo, pellicule, photos, peintures, archives…
