Michiel Ten Kleij

Réalisateur, Scénariste, Producteur

Pays-Bas

Détails

>Naissance :19 avril 1982 (Deventer, Pays-Bas)
>Âge :43 ans
>Carrière :20 ans

Michiel Ten Kleij étudie à l’École des Arts d’Utrecht. Pendant sa troisième année, il part au Costa Rica réaliser un documentaire sur la musique jazz appelé Un Mecato sur la vie de Robin J. Blakeman (musicien de jazz anglais qui a déménagé au Costa Rica pour s’inspirer du jazz latino). En 2010, Michiel réalise un film de fiction appelé Papier Hier. Il écrit et réalise Stefan heeft een Ster gevangen (Steven a attrapé une étoile), un film sur un garçon qui, pour échapper à toutes les disputes domestiques, attrape une étoile filante sur son balcon. Avant de réaliser Playing the Changes, Michiel a réalisé un autre documentaire sur la musique jazz intitulé Portraits of a Jazz Artist: Innokenty Ivanov.

Photos au festival (5) −

Filmographie (1) +

🎥 Documentaires (1)

2023 – Playing the Changes Rôle : Réalisateur, Scénariste
Synopsis : Playing the Changes met en lumière l’impact social de la musique jazz en racontant l’histoire du pianiste de jazz Darius Brubeck (né en 1947), fils aîné du légendaire musicien de jazz Dave Brubeck. En 1983, pendant l’apartheid en Afrique du Sud, il a lancé le tout premier diplôme universitaire en jazz sur le continent, ouvert à tous, indépendamment de la classe sociale ou de la couleur de peau. Le film explore le rôle déterminant que le Jazz a joué dans divers pays et sociétés.

Synopsis : Playing the Changes met en lumière l’impact social de la musique jazz en racontant l’histoire du pianiste de jazz Darius Brubeck (né en 1947), fils aîné du légendaire musicien de jazz Dave Brubeck. En 1983, pendant l’apartheid en Afrique du Sud, il a lancé le tout premier diplôme universitaire en jazz sur le continent, ouvert à tous, indépendamment de la classe sociale ou de la couleur de peau. Le film explore le rôle déterminant que le Jazz a joué dans divers pays et sociétés.

Citations (1) +

« En Afrique du Sud, le jazz n’était pas vraiment interdit, cependant dans certains endroits, les groupes de jazz mixtes l’étaient. Les musiciens noirs devaient parfois jouer derrière le rideau et n’étaient souvent pas autorisés à manger dans les endroits où ils jouaient. Des clubs comme The Moon à Durban et The Rainbow Restaurant à Pinetown ignoraient ces règles et étaient des lieux ouverts à tous. Vous pouvez voir un parallèle et, d’une certaine manière, les considérer comme les “catacombes” de l’Afrique du Sud. »
Michiel ten Kleij