Daniel Kötter
Réalisateur, MonteurAllemagne

Détails
- >Carrière :25 ans
Né en 1975 Daniel Kötter est un cinéaste et metteur en scène international. Ses oeuvres alternent entre différents contextes médiatiques et institutionnels et combinent des techniques cinématographiques expérimentales avec des éléments performatifs et documentaires. Ils sont projetés dans le monde entier lors de nombreux festivals de cinéma et d’art vidéo, dans des galeries, des théâtres et des salles de concert. Ses documentaires sont réalisés en collaboration avec des artistes et des communautés locales. En 2014-18, il travaille avec quarante artistes africains et chinois sur le projet de recherche, d’exposition et de film CHINAFRIKA. Le documentaire né de cette collaboration, Yu Gong, a été consacré meilleur film documentaire au festival Achtung 2020 à Berlin. En 2017-20, il a réalisé la trilogie de films documentaires Hashti Tehran (2017, 60’), Desert View (2018, 84’) et Rift Finfinnee (2020, 80’) sur les périphéries urbaines de Téhéran, du Caire et d’Addis-Abeba. Hashti Tehran a été récompensé au German Short Film Award et Rift Finfinnee au DOK festival de Leipzig.
Filmographie (1)
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2023 – Landshaft Rôle : Réalisateur, Monteur, Directeur de la photographie
Synopsis : Le conflit entre les pouvoirs arménien et azerbaïdjanais pour le contrôle du Karabakh perdure à bas bruit. Du lac Sevan à la mine d’or de Sotk, occupée par l’Azerbaïdjan depuis la guerre éclair de 2020, Daniel Kötter parcourt une vallée frontalière cernée de montagnes, à la rencontre des hommes et des femmes qui assistent avec inquiétude à l’approche du drame. Landshaft esquisse la psychogéographie d’un paysage géopolitiquement chargé, dominé par l’activité minière, la guerre et l’incertitude.
Synopsis : Le conflit entre les pouvoirs arménien et azerbaïdjanais pour le contrôle du Karabakh perdure à bas bruit. Du lac Sevan à la mine d’or de Sotk, occupée par l’Azerbaïdjan depuis la guerre éclair de 2020, Daniel Kötter parcourt une vallée frontalière cernée de montagnes, à la rencontre des hommes et des femmes qui assistent avec inquiétude à l’approche du drame. Landshaft esquisse la psychogéographie d’un paysage géopolitiquement chargé, dominé par l’activité minière, la guerre et l’incertitude.
Presse (1)
« Dans ce road-movie magnifiquement cadré se tissent les récits parallèles de la guerre et de l’exploitation aurifère, qui semblent être les deux faces d’une même violence faite au paysage. En donnant la parole à celles et ceux qui regardent avec inquiétude les puissantes des deux bords se déchirer sur leur dos, Landshaft révèle la psychogéographie profonde d’un territoire soumis à la logique mortifère de l’ethno-nationalisme postsoviétique.»
Emmanuel Chicon - Visions du Réel
Pour des ajouts / changements d'informations, merci de contacter steven.decarvalho.78@gmail.com